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  • Le cirque Pinder

    Le cirque Pinder sera à Port Louis (56) dès demain. De nouveau ce sont les 10 lionnes et 2 lions blancs qui sont à l'honneur sur la photo. F. Edelstein se targue toujours de les avoir sauver de la chasse en Afrique du Sud mais omet aussi de signaler qu'en les achetant entre 15 000 € et 20 000 € c'est donner environ 190 000 € à des fermes d'élevage et alimenter ce trafic.
    Sensibilisons la mairie poliment merci, cela n'est pas un sauvetage : http://www.ville-portlouis.fr/19-contact.html

     
    La tournée 2017 du cirque Pinder s’arrête en Bretagne pour présenter son nouveau spectacle Pinder, La Légende. Les artistes sont aux Pâtis, à…
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  • Tournées d'été chez Saint Petersbourg

     

    à priori deux chapiteaux en parallèle vont sillonner les routes de Gironde, Charente Maritime, Vendée et Bretagne en août, merci d'être vigilants.
    On sensibilise les communes qui les accueillent poliment :
    - Libourne (33) : http://www.ville-libourne.fr/…/le-maire-e…/138-le-maire.html
    - Coutras (33) : http://www.coutras.fr/fr/contact
    - Fouras (17) : http://www.fouras.net/v2/contact_maire.php
    - Royan (17) : http://www.ville-royan.fr/contacts/45-cabinet-du-maire.html
    - La Rochelle (17) : http://www.ville-larochelle.fr/contact.html
    - Châtelaillon Plage (17) : http://www.chatelaillonplage.fr/Contactez-nous

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  • UNE TRES BONNE NOUVELLE

     

    Deux dauphins sauvages, capturés dans les années 1990 et vendus au Zoo de Séoul, en Corée du Sud, viennent enfin de retrouver leur liberté. Merci à l'association Hotpinkdolphins.
    En France dauphins et orques sont toujours captifs de parcs marins au nom du divertissement et du profit : au Marineland d’Antibes, au Parc Astérix et à Planète Sauvage.
    L’arrêté contre la captivité des cétacés est actuellement mis en danger par le Marineland d’Antibes. L’association C’est Assez nous invite tous à signer sa pétition afin qu’il soit maintenu : https://www.mesopinions.com/…/mise-danger-arrete-delp…/30234

     
    Ils ont été capturés dans les années 1990, en Corée du Sud. Ils viennent tout juste de regagner l'océan. Un magnifique sauvetage.
     
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  • Avis de recherche.

    Un félin en liberté a été signalé vendredi aux autorités dans la Manche. La sous-préfecture de Cherbourg a lancé une opération de recherche pour retrouver l’animal.

     
    Un dispositif de recherche a été mis en place pour retrouver l'animal, qui pourrait être un lion ou un lynx...
     
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  • Merci

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    Nous sommes des activistes dans la vallée de Chamonix contre les cirques avec animaux.
    Beaucoup de gens viennent ici pour profiter de la nature à l’état sauvage, voir des animaux en liberté ou vivre des aventures au sein de ce massif. C’est l’image de Chamonix.
    Aller au cirque dans la vallée, c’est encourager la souffrance animale. C’est soutenir l’enfermement à vie de certains animaux, qui, dans des conditions normales parcourent plusieurs dizaines de kilomètres par jour pour chasser. 
    Sur l’emplacement qui leur est réservé à Chamonix, les animaux n’ont même pas d’espace de détente. Ils restent dans les cages exigues.
    Les cirques qui exploitent les animaux, sont totalement anachroniques et ne sont plus en accord avec leur temps.
    Cette semaine, un cirque sera aux Houches et à Chamonix.
    N’y allez pas. 
    Même si vous voulez faire voir des animaux à vos enfants.
    Emmenez-les voir les marmottes à l’Aiguillette des Houches, les gypaètes dans la Réserve des Aiguilles Rouges, les biches au détour d’un chemin en montant au Lac des Chéserys.
    Expliquez-leur que les animaux ressentent la douleur, le plaisir. Qu’ils aiment protéger leurs petits comme nous. Qu’ils hument l’air, se frottent aux troncs des arbres, se régalent d’herbes tendres. Cherchez les traces, écoutez à la tombée de la nuit leurs hululements ou leurs grognements.
    Vos enfants se souviendront de cela.

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  • MERCI à Florence Burgat

    MERCI à Florence Burgat, philosophe et rédactrice en chef d’une publication universitaire à ce sujet : la Revue semestrielle de droit animalier.

    «Bien sûr qu’il doit exister des cirques où les gens sont attentifs avec leurs animaux, qu’il existe une proximité entre animal et dresseur, admet Florence Burgat. Mais le principe du dressage, c’est de faire faire à l’animal quelque chose qu’il ne ferait pas spontanément.De même, on peut parler de maltraitance en ce qui concerne la captivité, cela prive l’animal de la potentialité d’une vie.»
    Pour la philosophe et chercheuse intéressée par la condition animale, une question se pose aujourd’hui: «Est-ce que les cirques ne devraient pas anticiper la baisse d’intérêt pour les spectacles avec animaux?Il est possible que cela ne fasse bientôt plus rire personne. Dans le milieu scientifique et dans les médias, une réflexion émerge.Cette question acquiert du poids et de la légitimité.»
    D’après elle, le fait qu’il soit légal de détenir des animaux sauvages et de monter des représentations autour de leur dressage bloque la réflexion.«On a l’idée que ce qui est légal est légitime», résume-t-elle. «Il faut se demander quel type d’animal on montre: un animal vaincu et dénaturé. Pourquoi donc montrer cela aux enfants? Les films animaliers sont plus éloquents, car ils font découvrir les animaux dans leur milieu naturel plutôt que de ne montrer que des animaux, certes réels, mais vaincus.»
    Florence Burgat se souvient d’une visite dans un zoo lorsqu’elle était en classe de cinquième. «Nous avions dû faire une rédaction pour raconter la visite: déjà à l’époque, je disais que j’avais trouvé cela triste.J’y avais vu un hippopotame dans une baignoire.» Il s’agit pour la chercheuse de repenser ce qu’est un animal sauvage. «Des animaux, il y en a à la campagne.Il suffit d’attendre que la nuit tombe et on en voit partout. Un animal sauvage, ce n’est pas seulement un lion ou un tigre. Pour découvrir la vie sauvage, il y a autre chose que le cirque et le zoo.»
    Elle tient aussi à rappeler qu’il «n’y a pas que notre intérêt en jeu». «Pourquoi part-on du principe que nous avons le droit de voir un animal dans n’importe quelles conditions?»

     
    Installé au plan d’eau de Saint-Yrieix, le Cirque franco-italien a amené avec lui toute sa ménagerie. La présence d’animaux dans le cirque ne fait pas l’unanimité.…
     
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  • NON SENS TOTAL

     

    Thierry Féery, producteur de "la grande fête Lilloise du cirque" s'exprime. Ce monsieur devrait se pencher sur les réelles causes de mortalité des animaux dans la nature, l'emprise de l'homme sur le territoire des animaux qui réduit peu à peu leur espace de vie. Il nous donne l'exemple de la longévité d'un macaque en captivité mais sait-il que l'homme détruit l'habitat de ces primates, que les forêts disparaissent et que ces macaques n'ont pas d'autre choix que de s'approcher de l'humain pour se nourrir, qu'un animal qui n'a plus un comportement naturel, chercher de la nourriture, se déplacer, chasser, montrera un comportement agressif envers ses congénères, c'est une question de survie de l'espèce ?
    Tout comme les animaux captifs qui ne pourront protéger leurs petits dans un espace réduit sans possibilité de fuite, l'instinct est de tuer sa progéniture.
    Enfermer des animaux pour les faire vivre plus longtemps ne résout en rien la sauvegarde des espèces en voie de disparition, ce travail doit se réaliser in situ.

     
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  • Le cirque Médrano

     

    Le cirque Médrano était installé à Soissons (02). Il faudra nous expliquer l'intérêt d'exploiter des vaches, des oies, des biquettes, des cochons qui font un tour de piste et qui vivent l'itinérance au quotidien. Le spectacle met en scène également des perroquets, des tigres, des dromadaires, des chameaux et lamas. Nous ne cautionnons pas ce type de "divertissement". Sensibilisons la commune qui accueille ce cirque tous les ans, merci : http://www.ville-soissons.fr/contactez-nous-298.html

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